On
peut donc tricher à un test de QI ?
OUI. Évidemment.
Hormis perdre 200 euros en passant un test faussé,
l'intérêt est très très limité !!
Cependant : Les tests de QI ressemblent beaucoup à certains tests
de recrutement (en informatique, souvent, et pour des postes dits de
"haut niveau", genre chef de projet, cadre, etc. C'est dû
au fait que la boite qui recrute doit avoir les moyens financiers de
faire passer de tels tests).
DONC : ça peut avoir un intérêt !!
Autre intérêt, assez égocentrique et/ou narcissique,
ou bien carrément politique (noyautage) : intégrer une
association de personnes dites à "haut QI" genre Mensa,
ou, plus, Pi, Sigma, etc. En plus, les tests de recrutement des adhérents
sont parfois à la portée de toutes les bourses...
Comment ?
Je fais confiance aux diverses associations de personnes à Haut
Qi ou Très Haut QI, ou boites de recrutement, pour
être parfaitement au courant des stratégies employées
par les aspirants impétrants. Libres à elles de mettre
en place, ou non (complicités internes) des stratégies
antagonistes.
Je ne considère pas que je donne des "trucs". Je ne
suis pas une spécialiste du genre et j'en conclue humblement
que ce que je dis est déjà connu et hyper connu des aspirants
"génies", et de n'importe quel étudiant en première
année de psy... et autre pékin moyen : moi, par exemple.
Donc : si quelqu'un vous paraît avoir usé
de ces trucs, à vous de voir où vous le placez dans votre
estime.
C'est tout.
1- Jouer sur
les mots.
Ainsi, l'écart-type étant différent
entre le WAIS et le Cattell,
130 au WAIS équivaut à 148 au Cattell !! J'ai personnellement
vu des gens vanter sur des forums leur QI de 160 ou 180, sans savoir
à quel test... Comme, en France, on passe plutôt le WAIS...
Les gens s'imaginent donc qu'il s'agit de celui-là.
Notre bon ex-Président lui-même m'a informée un
jour qu'il "y avait une différence" !! hi !! ( je vous
rassure : je le sais depuis un bon bout de temps... Mais croyant
la chose commune, je n'étais point intervenue sur ces forums
ou de malheureux génies parlaient de leur 160...) Comme quoi,
même un président du Gappesm peut être naïf.
Et donc n'importe qui, a fortiori ! C'est pourquoi il est important,
si vous passez des tests en ligne, de prendre le temps de lire les explications,
et la courbe de répartition souvent donnée en fin de test.
Explication rapide : pour attraper les génies dans sa courbe
de Gauss, invisibles avec le WAIS, le Cattell l'aplatit, avec un
écart-type de 24 au lieu de 15.
2- Mémoire.
- Il faut soudoyer quelqu'un.
... Trouver une personne, genre hypermnésique (grosse mémoire),
qui ira illico transcrire au café du coin toutes les questions
dont elle se souvient. On lui aura demandé de se concentrer surtout
sur les questions, par exemple.
Après : eh bien, passer quelques mois à trouver les solutions,
en groupe... :-)
Certains forums d'assoces "spécialisée HQI"
ont vu ainsi passer des thèmes du genre : "discutons sur
les tests" !!!
- Ou bien : tenir compte de "l'effet mémoire",
hyper connu.
Résumé : même plusieurs mois plus tard, une personne
se souviendra "mieux" des objets (mots, chiffres, etc.) qu'elle
a déjà vus. Dans une liste à mémoriser,
par exemple, les mots "connus", déjà rencontrés,
auront une fréquence de citation supérieure, ou la personne
s'en rappellera plus facilement, ou plus vite. Ce phénomène
semble jouer en dehors de la volonté. La personne peut sincèrement
penser avoir tout oublié et ne rien se rappeler de ce qu'elle
a vu quelques mois plus tôt. Cependant, aux tests, les résultats
sont là.
Comme les tests de QI tiennent compte du facteur "temps",
on peut comprendre qu'une personne ayant déjà passé
les mêmes tests 6 mois auparavant (cas Mensa) ira un peu plus
vite pour lire les questions, et y répondre; et a donc un peu
plus de chances de récupérer ainsi les quelques points
qui lui manquent.
Cas extrême : prendre rendez-vous chez deux psys à une
demi-journée d'intervalle, pour passer le même test !!
Evidemment : lire les items (au moins !) sera plus rapide la 2ème
fois. En plus, on se rappellera de certaines réponses (souvent
les plus ardues) qu'on aura eu du mal à trouver la première
fois. Je suis prête à tenir le pari --> gain de 10 à
30 points assurés au WAIS !! Chiche !
Personnellement, je me rappelle encore de certaines questions d'un test
de recrutement en stage informatique il y a 16 ans ! (Je
vous rassure : je m'en souviens justement parce que, moi qui me croyais
nulle en informatique, j'ai cassé la baraque ! Et ce sont des
questions qui m'ont interpellée -émotionnellement ? -
à l'époque. C'est ainsi que, quelques années plus
tard, j'ai décidé de passer les tests de Mensa, croyant
avoir sérieusement régressé entre-temps, n'ayant
toujours pas intégré mes résultats qui ne correspondaient
pas à mes capacités sur le terrain)
Là, il ne s'agit même pas de truc compliqué : juste
d'un peu de mémoire, tout court. C'est pourquoi, par exemple,
de nombreux tests gratuits en ligne recommandent de ne pas repasser
les tests tout de suite... Mais comment estimer ce dont la personne
va se rappeler ? Et combien de mois seront donc nécessaire à
l'oubli ?
Bon : ça coûte plus cher (DEUX psys)...
Mais si ça suffit pour intégrer une association de super
génies genre 1/5000, au lieu d'une association de simples génies...
On est content !! (notons qu'un groupuscule nazi quelconque peut être
prêt à payer encore plus pour noyauter une assoce d'élite)

3- Entraînement
et adaptation.
- Certaines boites qui vendent des tests détournent
le truc en déclarant que c'est de la Gym pour les neurones.
Ainsi justifient-elles qu'on puisse acheter leurs tests pour s'entraîner
--> notre cerveau serait mieux pourvu en neurones après, plus
gros, etc. ! A l'instar des muscles, à force de faire et refaire
les exercices, celui-ci aurait acquis des capacités nouvelles...
(*)
Ne nous leurrons pas. On ne devient pas forcément plus intelligent
parce qu'on a refait 30 fois le même test jusqu'à obtenir
un bon score (voir plus haut : mémoire, etc.).
Mais si les autres facteurs nécessitent
de s'y connaître (ex : tests sur ordi !!), c'est normal d'apprivoiser
d'abord "la bête". (1)
Notons que même à l'ANPE, les formateurs vous recommandent
de vous entraîner à passer des tests.
Parfois, lesdits tests de recrutement, donc, comprennent
des tests de QI plus ou moins déguisés : vous n'aurez
pas de "note" officielle, ou pas traduite en QI. On vous dira
juste si vous correspondez ou non au profil recherché.
Vous pouvez demander à avoir ces résultats.
Conclusion : ça n'est pas forcément de la triche.(2)
- Ceci dit : d'aucuns considèrent, à l'inverse,
que la capacité d'adaptation et l'aisance dans l'acquisition
de nouvelles stratégies de raisonnement, la réappropriation
de données nouvelles, etc. sont de l'intelligence.
En ce sens, et je serais assez d'accord : voir son QI augmenter au fur
et à mesure qu'on passe des tests serait bien une preuve d'intelligence
!!
CQFD.
Pour peu que ce ne soit pas toujours et uniquement le même test.
Justement.
De plus, même en javanais, je me fais fort
de reconnaître certaines questions récurrentes.
Il est dès lors indéniable que je vais aller plus vite
pour répondre, ne perdant que très peu de temps à
lire la question. Certains "principes", certaines "logiques"
dans ces tests sont toujours, ou presque, les mêmes.
Genre : si "argrouiplok" veut dire "
zut" et "troubebolleaffairé" veut dire "non"
alors "argrouiplok troubebolleaffairé zob" veut dire...
Par exemple : une fois que j'ai trouvé MON truc
pour ne pas me planter dans les séries numériques, je
suis devenue plus fortiche. C'est tout. Comme la plupart des séries
numériques se ressemblent, je peux estimer que c'est pour ça,
moi "nulle" avec les chiffres et nombres, assez bloquée,
que j'ai des résultats géniaux en séries numériques.
Ouiche.
La plupart du temps, c'est le même principe.
Voici par exemple MON truc, de visuelle (en tout cas, moins nulle qu'en
"numérique") complètement paumée en intervalles,
pour ne pas me planter.
On peut estimer que, pour chacun, trouver SON truc pour pallier une
difficulté EST de l'intelligence. Na.
MON truc : Faire des colliers à plusieurs rangs.

Crayon et brouillon doivent être
autorisés. C'est souvent le cas. Au moins une gomme et un crayon
(moi, je gribouille dessous les séries : ce n'est pas interdit).
Nb : si mon truc sert à
d'autres, je ne vois pas en quoi ça diminue l'estime (faible)
que j'ai de moi, ou l'estimation de mes capacités.
C'est à VOUS d'être honnête avec vous-même,
et de comprendre que se réapproprier une idée qui vous
convient, c'est OK. La copier bêtement sans l'intégrer,
c'est autre chose. En l'occurrence, ici, la copier implique tout de
même de se l'approprier. Autrement, ça vous demandera plus
de temps (temps de gribouiller dessous, etc.) et c'est idiot ! Si vous
allez plus vite autrement, évidemment qu'il ne faut pas s'inspirer
de mon truc.
3-bis. Acheter le test à
l'avance. Acheter le test et le passer...
Complet à partir de 150 francs suisses sur Internet ?
Voici du Catell,
la WAIS
(disquette de correction), etc. Consulter le catalogue
complet, suivant ses moyens.
Condition : comprendre le baragoin de la
demande de l'autorisation (hic) et photocopier un diplôme
de bazar (ou celui de la personne chez qui on le repassera pour officialiser...
S'il est affiché dans le cabinet : noter de mémoire toutes
les indications utiles).
(*)
Réf : "Softs et Micros", octobre 1984 in " Match
contre Einstein" (rien que ça !)

4- Faire
partie de la famille.
- Si on vous arrête dans la rue pour participer à
une étude de marché sur un produit quelconque, vous aurez
à affirmer que ni vous ni personne de votre famille ne travaille
dans la pub, etc.
Croyez-vous que c'est parce qu'on pense que vous risquez de mentir pour
avantager (ou désavantager) le produit ? Pas forcément
: si vous faites partie du "milieu", vous aurez un autre regard
sur le produit, un regard de professionnel, donc biaisé. Vous
savez comment tout cela marche, etc. Vous êtes tombé dedans
étant petit, si ça se trouve ! Tout le monde autour de
vous parle de "ça".
Enfant de psy ou autre... Chers petits, pouvez-vous prouver que jamais,
au grand jamais, des feuilles de tests ne vous sont tombées sous
les yeux ? tombées du sac de papa, traînant sur la table
basse du salon, dans le coffre à gants de la voiture de maman,
au bureau où vous vous rendiez après la classe ?... Ils
n'ont pas testé leur test tout juste acheté sur vous,
vous en êtes certains aussi ?? Et ils n'en parlaient jamais à
table ?
Êtes-vous certains qu'avoir un surdoué dans la
famille ne les arrangeait pas pour arracher ainsi la clientèle
des surdoués des environs à la concurrence ?
En ce cas, un bon entraînement du bambin, même inconsciemment,
ça aide !
- Bien entendu : soudoyer le psy, ou l'avoir
de son côté, être son ami ou complice, c'est encore
plus simple.
On ne peut rien prouver : comme on sait, les
résultats aux tests varient selon l'état du sujet.
Dépressif, celui-ci perdra beaucoup de points !! (et accuser
un type de triche, oui, ça peut le rendre dépressif !!).
Et, en principe, tout le monde admet que c'est le meilleur score obtenu
qui compte.
Donc : n'importe quel psy habilité peut déclarer que mon
chien Clovis a 112 de QI. Si Clovis foire ensuite aux nouveaux tests,
il me suffit de le déclarer en "dépression sévère"
(symptômes ? eh bien --> il se sent persécuté
-il pense qu'on l'accuse de tricherie- et... son QI a baissé
!!) ou qu'il est tombé sur la tête (traumatisme crânien ?
--> la preuve, son QI a baissé !).
L'enjeu peut être de taille si on songe aux assurances !!
Quand j'étais enfant, mes parents (instits)
racontaient parfois, en souriant jaune, l'histoire de X, victime d'un
accident de mobylette, qui aurait perdu 70 % de son qi dans l'accident...
En fait, selon mes parents, X avait perdu beaucoup moins que ça !!
X devait avoir auparavant... 70 de qi ?
Je me souviens en effet de X, copain de classe. Il était le seul
à avoir répondu n'importe quoi ("la banane est un
légume"), de son propre aveu, et sans s'expliquer, aux tests
de l'école en CM2.
Bien entendu, si X avait été sénégalais
et non breton d'origine, son estimation de la banane aurait due être
révisée (Banane Plantain).
Spécial VHQI
(3):
(note : on comprendra que j'en reste à des généralités
sans citer d'exemples précis afin de ne pas risquer de donner,
même involontairement, des indices sur des tests)
- Simplement : imaginez que vous croisiez
le rédacteur des sujets du BAC Philo dans la rue... Et qu'il
se mette à raconter sa vie, parce qu'il se sent seul. Si vous
êtes malin, fin et attentif, et motivé parce que l'épreuve
a lieu le lendemain, vous l'invitez au bar du coin pour continuer cette
intéressante conversation. La personne est honnête, certes,
et ne dira rien sur le sujet. MAIS, au bout de quelques heures, vous
saurez tout de ses goûts, de sa culture, son éducation,
etc. Bref : ses auteurs préférés, ses opinions
politiques, ses thèmes de prédilection en philo, son amour
pour son boulot, son état d'esprit du moment et ses obsessions
!
Vous qui êtes si fin... N'auriez-vous pas alors une idée
sur le sujet rédigé par cette personne ? En tout cas,
sur le genre de réponse qu'elle attend !
C'est pourquoi les associations de THQI interdisent qu'on communique
sur les tests. Donc, en principe, y faire même allusion est interdit...
Nous sommes entre génies surdoués, n'oublions
pas.
Le problème est que les rédacteurs et/ou bêta-testeurs
sont aussi des être humains normaux, avec, en plus, un ego à
problème bien souvent (autrement, que font-ils dans les parages
?) et qu'on les trouve même sur Internet, racontant qu'ils ont
rédigé ci ou ça, corrigé ou aidé
à étalonner, avec leur immense QI, le Grand Test de Telle
assoce élitiste. Ensuite, redirigé(e) sur leur site perso,
le/la surfeur/se génial(e) peut se faire une gentille petite
idée des goûts et des couleurs de la personne.
Quand certains tests, non limités dans le temps, comportent des
items composés d'un SEUL mot, et qu'il faut trouver l'autre...
TOUT renseignement extérieur est bon à prendre.
Notons que certains tests semblent prendre en compte cette possibilité
de fouinage --> usage du terme "sérendipité"
! Ceci dit, certaines personnes ont moins la possibilité de se
renseigner de la sorte. Et celles qui connaissent bien l'auteur ou un
des auteurs du test sont tout de même avantagées.
- Rédiger son propre test. C'est aussi un bon
truc. Et créer dans la foulée l'association qui va avec.
- Être "membre d'honneur" ou équivalent,
d'une association de super génies... Souvent, ça veut
juste dire qu'on a filé un coup de main pour les tests, voire
dessiné un tore ou deux. Mais on est dispensé, du coup,
de les passer, ces fameux tests ! Parfois, on a même servi de
mètre étalon.
Mais, pour la plupart des gens, on fait partie de telle ou telle association
de personnes à vraiment super très gros gros Q.I., c'est
tout ce qu'on comprend.

5- Envoyer quelqu'un
d'autre les passer ! C'est assez rare que le psychologue vous
demande une pièce d'identité. Et encore plus rare qu'il
soit apte à discerner les faux papiers... Certains résultats
aux tests s'envoient même par la Poste, alors...
Il reste aussi la solution "photocopie" + un peu de blanc,
ou "traitement de texte" pour arranger le score. Bien entendu,
secret professionnel oblige, la personne habilitée à faire
passer les tests ne peut communiquer les résultats à un
tiers ! (et vlan !)
Conclusion : Prouver ?
Prouver quoi ?
Si, à deux tests mesurant la même chose, la personne
obtient des scores différents, il suffit d'invoquer une forte
fièvre (qui peut stimuler certaines fonctions du cerveau, car
le sang circule plus vite, etc.) ou une carence en sommeil, les heures
de la journées, les jours du mois, une dépression... (voir
cas Clovis) (4)
On a vieilli, ou on était trop immature, ou on avait ses règles,
ou reluqué le jean moulant de l'assistant, ou mal aux dents,
ou peur de l'araignée au plafond.
Pire : l'ignoble doute envers nous nous a traumatisé, et le stress
a saboté la passation--> portons plainte !
(rappelons qu'un stress intense peut même crâmer nos neurones
à jamais)
Essayer le détecteur de mensonge ? Aaahh. Mais
c'est quoi, tricher ? L'intelligence, n'est-ce pas de trouver
la meilleure stratégie pour réussir ? La personne peut
avoir l'âme en paix et penser sincèrement avoir joué
le jeu.
Un super soi-disant THQI (180) me rappelait que, selon lui, le bien
et le mal étaient des notions relatives... En ce cas, pourquoi
penserais-je qu'il a honnêtement - selon moi - passé les
tests ?
Résumé : oui, on peut tricher aux tests
de Q.I., prétendre le contraire serait un vil mensonge, mais
il faut en voir l'intérêt.
--------------
(1) Mon premier test
sur "machine" a été sur Minitel ; et j'ai obtenu
royalement 113, y'a plus de 15 ans. Je ne savais même pas où
cliquer. Argh. Maintenant, si je ne picole pas trop pendant, j'arrive
parfois à 148 sur des tests WAIS, et en anglais !
Retour
(2) J'expliquerai
aisément à tout contradicteur me soupçonnant de
triche que les variations de mon QI sont dues à la dépression
atypique sévère dont je souffre depuis mon plus jeune
âge. En fait, donc, mon nouveau QI de 148 devrait bien correspondre
à 200 (au WAIS) si je n'étais pas dépressive, n'est-ce
pas...
Retour
Ceci dit : les tests psy en ligne affirmant que je suis vraiment très
très dépressive. ... Ne vous étonnez donc
pas si cette FAQ s'interrompt brusquement.
Pardon à l'avance.
(3) VHQI : Vraiment Haut Quotient Intellectuel. Ou
bien THQI : Très Haut QI (VHIQ en anglais : very high IQ), ou
HQI (Haut QI), HIQ (High IQ)... En général, par extension,
désigne la personne elle-même. Ainsi, on dit facilement
un HQI.
Retour
(4) Enfin si,
une baisse d'efficience intellectuelle mise en évidence par un
examen psychométrique reflète une altération des
fonctions cérébrales, elle ne préjuge ni de son
origine organique, ni de son caractère définitif. En effet,
la baisse de l'efficience peut être la conséquence d'un
état dépressif, réversible sous traitement spécifique.
Cependant, certains tests faisant appel aux capacités perceptives
: copie d'une figure de Rey, test de rétention visuelle de Benton
permettent plus particulièrement de suspecter une lésion
organique.
Extrait de "Examen
psychométrique" de Juliette Grémion.
Cours de psychiatrie des DCEM3, questions d'Internat. Faculté
de Médecine de Paris-Sud
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Lauranne
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