Foire aux questions
Mise à jour : 20-feb-05

Peut-on tricher aux tests de QI ?
Oui, bien entendu.
Mais je vois mal un pauvre (*) gâcher 200 euros chez un psy pour un test faussé !!

Introduction : un intérêt relatif,mais...

Jouer sur les mots
Faire travailler la mémoire
S'entraîner
Faire partie de la famille
Spécial VHQI
Se faire remplacer

Conclusion : prouver quoi?

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(*) Note importante : le terme "pauvre", s'il est un peu provocateur ne l'est pas, évidemment, à l'encontre des pauvres.
Il se veut juste rappeler qu'il y a des pauvres.
Par contre, je comprend bien que ce raccourci peut apparaître insultant pour une personne du "Tiers Monde" pour qui nos pauvres sont des milliardaires
( en tout cas : vivants et pas systématiquement mourants ou violés).
Le terme "pauvre" désigne ici une personne vivant en France (cette FAQ est destinée à la France) et qui ne peut se payer la plupart des choses dont il est question sur les forums et sur le site !

On peut donc tricher à un test de QI ?

OUI. Évidemment.
Hormis perdre 200 euros en passant un test faussé, l'intérêt est très très limité !!
Cependant : Les tests de QI ressemblent beaucoup à certains tests de recrutement (en informatique, souvent, et pour des postes dits de "haut niveau", genre chef de projet, cadre, etc. C'est dû au fait que la boite qui recrute doit avoir les moyens financiers de faire passer de tels tests).
DONC : ça peut avoir un intérêt !!
Autre intérêt, assez égocentrique et/ou narcissique, ou bien carrément politique (noyautage) : intégrer une association de personnes dites à "haut QI" genre Mensa, ou, plus, Pi, Sigma, etc. En plus, les tests de recrutement des adhérents sont parfois à la portée de toutes les bourses...
Comment ?
Je fais confiance aux diverses associations de personnes à Haut Qi ou Très Haut QI, ou boites de recrutement, pour être parfaitement au courant des stratégies employées par les aspirants impétrants. Libres à elles de mettre en place, ou non (complicités internes) des stratégies antagonistes.
Je ne considère pas que je donne des "trucs". Je ne suis pas une spécialiste du genre et j'en conclue humblement que ce que je dis est déjà connu et hyper connu des aspirants "génies", et de n'importe quel étudiant en première année de psy... et autre pékin moyen : moi, par exemple.

Donc : si quelqu'un vous paraît avoir usé de ces trucs, à vous de voir où vous le placez dans votre estime.
C'est tout.

1- Jouer sur les mots.
Ainsi, l'écart-type étant différent entre le WAIS et le Cattell, 130 au WAIS équivaut à 148 au Cattell !! J'ai personnellement vu des gens vanter sur des forums leur QI de 160 ou 180, sans savoir à quel test... Comme, en France, on passe plutôt le WAIS... Les gens s'imaginent donc qu'il s'agit de celui-là.
Notre bon ex-Président lui-même m'a informée un jour qu'il "y avait une différence" !! hi !! ( je vous rassure : je le sais depuis un bon bout de temps... Mais croyant la chose commune, je n'étais point intervenue sur ces forums ou de malheureux génies parlaient de leur 160...) Comme quoi, même un président du Gappesm peut être naïf. Et donc n'importe qui, a fortiori ! C'est pourquoi il est important, si vous passez des tests en ligne, de prendre le temps de lire les explications, et la courbe de répartition souvent donnée en fin de test.
Explication rapide : pour attraper les génies dans sa courbe de Gauss, invisibles avec le WAIS, le Cattell l'aplatit, avec un écart-type de 24 au lieu de 15.

2- Mémoire.
- Il faut soudoyer quelqu'un.
... Trouver une personne, genre hypermnésique (grosse mémoire), qui ira illico transcrire au café du coin toutes les questions dont elle se souvient. On lui aura demandé de se concentrer surtout sur les questions, par exemple.
Après : eh bien, passer quelques mois à trouver les solutions, en groupe... :-)
Certains forums d'assoces "spécialisée HQI" ont vu ainsi passer des thèmes du genre : "discutons sur les tests" !!!
- Ou bien : tenir compte de "l'effet mémoire", hyper connu.
Résumé : même plusieurs mois plus tard, une personne se souviendra "mieux" des objets (mots, chiffres, etc.) qu'elle a déjà vus. Dans une liste à mémoriser, par exemple, les mots "connus", déjà rencontrés, auront une fréquence de citation supérieure, ou la personne s'en rappellera plus facilement, ou plus vite. Ce phénomène semble jouer en dehors de la volonté. La personne peut sincèrement penser avoir tout oublié et ne rien se rappeler de ce qu'elle a vu quelques mois plus tôt. Cependant, aux tests, les résultats sont là.
Comme les tests de QI tiennent compte du facteur "temps", on peut comprendre qu'une personne ayant déjà passé les mêmes tests 6 mois auparavant (cas Mensa) ira un peu plus vite pour lire les questions, et y répondre; et a donc un peu plus de chances de récupérer ainsi les quelques points qui lui manquent.
Cas extrême : prendre rendez-vous chez deux psys à une demi-journée d'intervalle, pour passer le même test !!
Evidemment : lire les items (au moins !) sera plus rapide la 2ème fois. En plus, on se rappellera de certaines réponses (souvent les plus ardues) qu'on aura eu du mal à trouver la première fois. Je suis prête à tenir le pari --> gain de 10 à 30 points assurés au WAIS !! Chiche !
Personnellement, je me rappelle encore de certaines questions d'un test de recrutement en stage informatique il y a 16 ans ! (Je vous rassure : je m'en souviens justement parce que, moi qui me croyais nulle en informatique, j'ai cassé la baraque ! Et ce sont des questions qui m'ont interpellée -émotionnellement ? - à l'époque. C'est ainsi que, quelques années plus tard, j'ai décidé de passer les tests de Mensa, croyant avoir sérieusement régressé entre-temps, n'ayant toujours pas intégré mes résultats qui ne correspondaient pas à mes capacités sur le terrain)
Là, il ne s'agit même pas de truc compliqué : juste d'un peu de mémoire, tout court. C'est pourquoi, par exemple, de nombreux tests gratuits en ligne recommandent de ne pas repasser les tests tout de suite... Mais comment estimer ce dont la personne va se rappeler ? Et combien de mois seront donc nécessaire à l'oubli ?

Bon : ça coûte plus cher (DEUX psys)... Mais si ça suffit pour intégrer une association de super génies genre 1/5000, au lieu d'une association de simples génies... On est content !! (notons qu'un groupuscule nazi quelconque peut être prêt à payer encore plus pour noyauter une assoce d'élite)

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3- Entraînement et adaptation.
- Certaines boites qui vendent des tests détournent le truc en déclarant que c'est de la Gym pour les neurones. Ainsi justifient-elles qu'on puisse acheter leurs tests pour s'entraîner --> notre cerveau serait mieux pourvu en neurones après, plus gros, etc. ! A l'instar des muscles, à force de faire et refaire les exercices, celui-ci aurait acquis des capacités nouvelles... (*)
Ne nous leurrons pas. On ne devient pas forcément plus intelligent parce qu'on a refait 30 fois le même test jusqu'à obtenir un bon score (voir plus haut : mémoire, etc.).

Mais si les autres facteurs nécessitent de s'y connaître (ex : tests sur ordi !!), c'est normal d'apprivoiser d'abord "la bête". (1)
Notons que même à l'ANPE, les formateurs vous recommandent de vous entraîner à passer des tests.
Parfois, lesdits tests de recrutement, donc, comprennent des tests de QI plus ou moins déguisés : vous n'aurez pas de "note" officielle, ou pas traduite en QI. On vous dira juste si vous correspondez ou non au profil recherché.
Vous pouvez demander à avoir ces résultats.

Conclusion : ça n'est pas forcément de la triche.(2)

- Ceci dit : d'aucuns considèrent, à l'inverse, que la capacité d'adaptation et l'aisance dans l'acquisition de nouvelles stratégies de raisonnement, la réappropriation de données nouvelles, etc. sont de l'intelligence.
En ce sens, et je serais assez d'accord : voir son QI augmenter au fur et à mesure qu'on passe des tests serait bien une preuve d'intelligence !!
CQFD.
Pour peu que ce ne soit pas toujours et uniquement le même test. Justement.

De plus, même en javanais, je me fais fort de reconnaître certaines questions récurrentes.
Il est dès lors indéniable que je vais aller plus vite pour répondre, ne perdant que très peu de temps à lire la question. Certains "principes", certaines "logiques" dans ces tests sont toujours, ou presque, les mêmes.

Genre : si "argrouiplok" veut dire " zut" et "troubebolleaffairé" veut dire "non" alors "argrouiplok troubebolleaffairé zob" veut dire...

Par exemple : une fois que j'ai trouvé MON truc pour ne pas me planter dans les séries numériques, je suis devenue plus fortiche. C'est tout. Comme la plupart des séries numériques se ressemblent, je peux estimer que c'est pour ça, moi "nulle" avec les chiffres et nombres, assez bloquée, que j'ai des résultats géniaux en séries numériques. Ouiche.
La plupart du temps, c'est le même principe.

Voici par exemple MON truc, de visuelle (en tout cas, moins nulle qu'en "numérique") complètement paumée en intervalles, pour ne pas me planter.
On peut estimer que, pour chacun, trouver SON truc pour pallier une difficulté EST de l'intelligence. Na.

MON truc : Faire des colliers à plusieurs rangs.

Crayon et brouillon doivent être autorisés. C'est souvent le cas. Au moins une gomme et un crayon (moi, je gribouille dessous les séries : ce n'est pas interdit).
Nb : si mon truc sert à d'autres, je ne vois pas en quoi ça diminue l'estime (faible) que j'ai de moi, ou l'estimation de mes capacités.
C'est à VOUS d'être honnête avec vous-même, et de comprendre que se réapproprier une idée qui vous convient, c'est OK. La copier bêtement sans l'intégrer, c'est autre chose. En l'occurrence, ici, la copier implique tout de même de se l'approprier. Autrement, ça vous demandera plus de temps (temps de gribouiller dessous, etc.) et c'est idiot ! Si vous allez plus vite autrement, évidemment qu'il ne faut pas s'inspirer de mon truc.

3-bis. Acheter le test à l'avance. Acheter le test et le passer...
Complet à partir de 150 francs suisses sur Internet ?
Voici du Catell, la WAIS (disquette de correction), etc. Consulter le catalogue complet, suivant ses moyens.
Condition : comprendre le baragoin de la demande de l'autorisation (hic) et photocopier un diplôme de bazar (ou celui de la personne chez qui on le repassera pour officialiser... S'il est affiché dans le cabinet : noter de mémoire toutes les indications utiles).

(*) Réf : "Softs et Micros", octobre 1984 in " Match contre Einstein" (rien que ça !)

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4- Faire partie de la famille.
- Si on vous arrête dans la rue pour participer à une étude de marché sur un produit quelconque, vous aurez à affirmer que ni vous ni personne de votre famille ne travaille dans la pub, etc.
Croyez-vous que c'est parce qu'on pense que vous risquez de mentir pour avantager (ou désavantager) le produit ? Pas forcément : si vous faites partie du "milieu", vous aurez un autre regard sur le produit, un regard de professionnel, donc biaisé. Vous savez comment tout cela marche, etc. Vous êtes tombé dedans étant petit, si ça se trouve ! Tout le monde autour de vous parle de "ça".
Enfant de psy ou autre... Chers petits, pouvez-vous prouver que jamais, au grand jamais, des feuilles de tests ne vous sont tombées sous les yeux ? tombées du sac de papa, traînant sur la table basse du salon, dans le coffre à gants de la voiture de maman, au bureau où vous vous rendiez après la classe ?... Ils n'ont pas testé leur test tout juste acheté sur vous, vous en êtes certains aussi ?? Et ils n'en parlaient jamais à table ?
Êtes-vous certains qu'avoir un surdoué dans la famille ne les arrangeait pas pour arracher ainsi la clientèle des surdoués des environs à la concurrence ? En ce cas, un bon entraînement du bambin, même inconsciemment, ça aide !

- Bien entendu : soudoyer le psy, ou l'avoir de son côté, être son ami ou complice, c'est encore plus simple.
On ne peut rien prouver : comme on sait, les résultats aux tests varient selon l'état du sujet.
Dépressif, celui-ci perdra beaucoup de points !! (et accuser un type de triche, oui, ça peut le rendre dépressif !!). Et, en principe, tout le monde admet que c'est le meilleur score obtenu qui compte.
Donc : n'importe quel psy habilité peut déclarer que mon chien Clovis a 112 de QI. Si Clovis foire ensuite aux nouveaux tests, il me suffit de le déclarer en "dépression sévère" (symptômes ? eh bien --> il se sent persécuté -il pense qu'on l'accuse de tricherie- et... son QI a baissé !!) ou qu'il est tombé sur la tête (traumatisme crânien ? --> la preuve, son QI a baissé !).
L'enjeu peut être de taille si on songe aux assurances !!

Quand j'étais enfant, mes parents (instits) racontaient parfois, en souriant jaune, l'histoire de X, victime d'un accident de mobylette, qui aurait perdu 70 % de son qi dans l'accident... En fait, selon mes parents, X avait perdu beaucoup moins que ça !! X devait avoir auparavant... 70 de qi ?
Je me souviens en effet de X, copain de classe. Il était le seul à avoir répondu n'importe quoi ("la banane est un légume"), de son propre aveu, et sans s'expliquer, aux tests de l'école en CM2.
Bien entendu, si X avait été sénégalais et non breton d'origine, son estimation de la banane aurait due être révisée (Banane Plantain).

Spécial VHQI (3):
(note : on comprendra que j'en reste à des généralités sans citer d'exemples précis afin de ne pas risquer de donner, même involontairement, des indices sur des tests)

- Simplement : imaginez que vous croisiez le rédacteur des sujets du BAC Philo dans la rue... Et qu'il se mette à raconter sa vie, parce qu'il se sent seul. Si vous êtes malin, fin et attentif, et motivé parce que l'épreuve a lieu le lendemain, vous l'invitez au bar du coin pour continuer cette intéressante conversation. La personne est honnête, certes, et ne dira rien sur le sujet. MAIS, au bout de quelques heures, vous saurez tout de ses goûts, de sa culture, son éducation, etc. Bref : ses auteurs préférés, ses opinions politiques, ses thèmes de prédilection en philo, son amour pour son boulot, son état d'esprit du moment et ses obsessions !
Vous qui êtes si fin... N'auriez-vous pas alors une idée sur le sujet rédigé par cette personne ? En tout cas, sur le genre de réponse qu'elle attend !
C'est pourquoi les associations de THQI interdisent qu'on communique sur les tests. Donc, en principe, y faire même allusion est interdit... Nous sommes entre génies surdoués, n'oublions pas.
Le problème est que les rédacteurs et/ou bêta-testeurs sont aussi des être humains normaux, avec, en plus, un ego à problème bien souvent (autrement, que font-ils dans les parages ?) et qu'on les trouve même sur Internet, racontant qu'ils ont rédigé ci ou ça, corrigé ou aidé à étalonner, avec leur immense QI, le Grand Test de Telle assoce élitiste. Ensuite, redirigé(e) sur leur site perso, le/la surfeur/se génial(e) peut se faire une gentille petite idée des goûts et des couleurs de la personne.
Quand certains tests, non limités dans le temps, comportent des items composés d'un SEUL mot, et qu'il faut trouver l'autre... TOUT renseignement extérieur est bon à prendre.
Notons que certains tests semblent prendre en compte cette possibilité de fouinage --> usage du terme "sérendipité" ! Ceci dit, certaines personnes ont moins la possibilité de se renseigner de la sorte. Et celles qui connaissent bien l'auteur ou un des auteurs du test sont tout de même avantagées.

- Rédiger son propre test. C'est aussi un bon truc. Et créer dans la foulée l'association qui va avec.

- Être "membre d'honneur" ou équivalent, d'une association de super génies... Souvent, ça veut juste dire qu'on a filé un coup de main pour les tests, voire dessiné un tore ou deux. Mais on est dispensé, du coup, de les passer, ces fameux tests ! Parfois, on a même servi de mètre étalon.
Mais, pour la plupart des gens, on fait partie de telle ou telle association de personnes à vraiment super très gros gros Q.I., c'est tout ce qu'on comprend.

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5- Envoyer quelqu'un d'autre les passer ! C'est assez rare que le psychologue vous demande une pièce d'identité. Et encore plus rare qu'il soit apte à discerner les faux papiers... Certains résultats aux tests s'envoient même par la Poste, alors...
Il reste aussi la solution "photocopie" + un peu de blanc, ou "traitement de texte" pour arranger le score. Bien entendu, secret professionnel oblige, la personne habilitée à faire passer les tests ne peut communiquer les résultats à un tiers ! (et vlan !)

 

Conclusion : Prouver ? Prouver quoi ?
Si, à deux tests mesurant la même chose, la personne obtient des scores différents, il suffit d'invoquer une forte fièvre (qui peut stimuler certaines fonctions du cerveau, car le sang circule plus vite, etc.) ou une carence en sommeil, les heures de la journées, les jours du mois, une dépression... (voir cas Clovis) (4)
On a vieilli, ou on était trop immature, ou on avait ses règles, ou reluqué le jean moulant de l'assistant, ou mal aux dents, ou peur de l'araignée au plafond.
Pire : l'ignoble doute envers nous nous a traumatisé, et le stress a saboté la passation--> portons plainte !
(rappelons qu'un stress intense peut même crâmer nos neurones à jamais)

Essayer le détecteur de mensonge ? Aaahh. Mais c'est quoi, tricher ? L'intelligence, n'est-ce pas de trouver la meilleure stratégie pour réussir ? La personne peut avoir l'âme en paix et penser sincèrement avoir joué le jeu.
Un super soi-disant THQI (180) me rappelait que, selon lui, le bien et le mal étaient des notions relatives... En ce cas, pourquoi penserais-je qu'il a honnêtement - selon moi - passé les tests ?

Résumé : oui, on peut tricher aux tests de Q.I., prétendre le contraire serait un vil mensonge, mais il faut en voir l'intérêt.

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(1) Mon premier test sur "machine" a été sur Minitel ; et j'ai obtenu royalement 113, y'a plus de 15 ans. Je ne savais même pas où cliquer. Argh. Maintenant, si je ne picole pas trop pendant, j'arrive parfois à 148 sur des tests WAIS, et en anglais !
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(2) J'expliquerai aisément à tout contradicteur me soupçonnant de triche que les variations de mon QI sont dues à la dépression atypique sévère dont je souffre depuis mon plus jeune âge. En fait, donc, mon nouveau QI de 148 devrait bien correspondre à 200 (au WAIS) si je n'étais pas dépressive, n'est-ce pas...
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Ceci dit : les tests psy en ligne affirmant que je suis vraiment très très dépressive. ... Ne vous étonnez donc pas si cette FAQ s'interrompt brusquement.
Pardon à l'avance.

(3) VHQI : Vraiment Haut Quotient Intellectuel. Ou bien THQI : Très Haut QI (VHIQ en anglais : very high IQ), ou HQI (Haut QI), HIQ (High IQ)... En général, par extension, désigne la personne elle-même. Ainsi, on dit facilement un HQI.
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(4) Enfin si, une baisse d'efficience intellectuelle mise en évidence par un examen psychométrique reflète une altération des fonctions cérébrales, elle ne préjuge ni de son origine organique, ni de son caractère définitif. En effet, la baisse de l'efficience peut être la conséquence d'un état dépressif, réversible sous traitement spécifique. Cependant, certains tests faisant appel aux capacités perceptives : copie d'une figure de Rey, test de rétention visuelle de Benton permettent plus particulièrement de suspecter une lésion organique.
Extrait de "Examen psychométrique" de Juliette Grémion.
Cours de psychiatrie des DCEM3, questions d'Internat. Faculté de Médecine de Paris-Sud
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Lauranne

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Suggestions et critiques : Marisol

Peinture d'Yskany

Et encore ??

 

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